La Fédération togolaise de boxe (Fetoboxe) a à cœur le développement de cette discipline.
La victoire de Sabou Balogou, qui a remporté un titre international de boxe, version WBA (World Boxing Association) et des deux autres togolais, en l’occurrence Agbonson Ayaovi (Poids lourd) et Kokou Mama Balogou alias Djolévi (Poids super Welter), témoignent de la vitalité du noble art togolais.
De même, le champion de boxe super welter (67-68 kg) d’Allemagne et d’Europe est un pugiliste d’origine togolaise. Lorenzo Kouami Folly Kuegah avait décroché le titre WCO (intercontinental World Combat Organisation) dans la catégorie poids moyen.
Le boxeur togolais vivant en Allemagne s’était illustré le 27 novembre 2010 en envoyant au tapis dès le premier round l’Allemand Joël Gomez.
Une victoire qui a fait du Togolais, le champion d’Europe des poids moyens.
De même, auréolé de son titre de champion WBF international obtenu au terme de son combat contre le Bulgare Yordan Vasilev, le 10 novembre 2011 boxeur togolais Daniel Kodjo Kpalogo a mis fin à sa carrière après avoir fait rayonner le Togo dans cette discipline.
Malgré tous ces champions, le noble art n’est pas très connu au Togo.
Le président de la Fetoboxe Bayor Kelani multiplie, depuis quelques années, des actions de promotion pour mieux faire connaitre cette discipline.
Bayor Kelani a l’intention de susciter des vocations. Le patron de la boxe au Togo a pour ambition de faire en sorte que la boxe devienne véritablement un sport national.
