Troisième discipline olympique après l’athlétisme et la natation, le Tir a encore du chemin à faire dans un pays comme le Sénégal où on le retrouve pourtant dans la cinquantaine de disciplines existantes.
Souvent qualifié de sport de riche ou de techniques ( eut égard aux armes dont le maniement souvent requiert beaucoup de tact), mais surtout par rapport à la cherté des munitions ou des armes dans un pays pauvres, la pratique de la discipline souffre.
Même si le Sénégal est classé en 2013 parmi les trois meilleurs pays africains en Tir et sur les 77 au monde, il reste que les licenciés ne dépassent pas 500 sur les 13 millions d’habitants.
Dans un autre cadre,la nouvelle fédération en place dans sa nouvelle politique entend développer « la discipline au niveau nationale,car jusque – là les trois clubs existants sont à Dakar. Aucune région sur les treize restantes n’étant dans la fédération« .
Une situation qui selon le président Mamadou Bâ » sera corrigée au plus vite afin d’élargir cette discipline pleine de vertus à tous« .
