EuroBasket/Diaw : «Retrouver notre niveau de jeu très vite »

Journaliste à Africa Top Sports Premier portail sportif Africain https://www.africatopsports.com




765504-9126327-640-360Les Bleus ont débuté leur Eurobasket 2013 face à l’Allemagne, un adversaire contre qui, ils n’ont plus perdu depuis 10 ans. Et pourtant les choses commencent mal pour l’équipe de France.
Le capitaine Boris Diaw et les siens ont complètement manqué leur entrée en matière au Championnat d’Europe slovène en s’inclinant face à l’Allemagne (80-74).
Les Bleus ont ensuite connu un début de match catastrophique. Ils ont couru après le score toute la soirée après un premier quart-temps catastrophique (14-27).
Pour Boris Diaw, qui espère remporter l’Euro, l’équipe de France a manqué d’intensité pour cette première rencontre de la compétition. Au micro du quotidien sportif L’Equipe, le Franco-Sénégalais est revenu sur cette défaite.

 

 

« On aurait voulu rentrer dans l’Euro avec une grosse intensité, imposer notre jeu et continuer à progresser tout au long de la compétition. Malheureusement, ce n’est pas ce qui s’est passé. On a eu quelques flottements en début de match, ils ont pris confiance et mis des tirs extérieurs. Ils ont aussi réussi à rentrer dans notre défense, surtout par le pick and roll (jeu à deux avec écran) en tête de raquette, qui nous a fait beaucoup de mal. On aurait voulu faire mieux, mais on n’a pas joué à notre niveau. Ils étaient aussi préparés parce qu’ils nous ont joué deux fois en préparation (deux victoires de l’équipe de France) et ils se sont servis un peu de ce qu’on avait fait défensivement contre eux pour trouver des failles. »

 

 

« Si on ne veut pas finir l’aventure très vite, il va falloir retrouver notre niveau de jeu très vite. On sait qu’on n’a pas joué à notre niveau, ce n’est pas notre identité, pas la façon dont on joue et il va falloir le faire dès demain (jeudi). »
« Ne pas rester concentré, ne pas faire ce que le coach nous demande, peut être une de nos faiblessses. Nous ne sommes pas constants, on le sait, et ce match le prouve. Il doit nous servir à ne pas reproduire cela.»


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