Mbagnick Ndiaye en marge de la sortie de la 8e promotion de l’Ecole internationale des métiers d’armes ( EIMA) regroupant des escrimeurs venus de 9 pays africains, a informé que » les autres pays ayant désisté, le Sénégal a osé »
Une rencontre qui s’est tenue en marge de la célébration du centenaire cette année de la fédération internationale d’escrime ( FIE). Mais une occasion saisie par le patron de l’escrime africain pour rappeler » l’importance de cette discipline et sa montée en puissance sur le continent où il y a quelques années, elle était méconnue ».
Rappelant que « la part de l’Afrique dans l’escrime mondiale est importante », le directeur technique national de la fédération internationale d’escrime, le Français Ian Pop présent à Dakar affirme » c’est pourquoi la FIE n’ a pas hésité à accompagner la mise sur pied de l’école d’escrime de Dakar, qui au monde est la seule qui forme des entraîneurs et des éléves« .
Pour son compére et patron des compétitions internationales au niveau mondial, Bernard Dini » il y a14 ans quand cette école qui est la seule existante en Afrique était créée, on avait des craintes. Mais aujourd’hui on en est fier »
A rappeler que le Togo, le Bénin, le Nigeria, le Gabon, le Cameroun, l’Ile Maurice, Madagascar, Sénégal, Algérie et Tunisie sont les pays représentés à l’EIMA de Dakar.
Une portion congrue sur les 28 pays africains où se pratique l’escrime.