Laurent Blanc a permis de décrocher hier soir un deuxième titre de champion de France de suite avec le PSG – le quatrième de l’histoire du club- Et ce malgré la défaite à domicile contre Rennes – 1-2-.
Pour lui, c’est le premier à la tête du PSG. Il était bien sûr super heureux. Mais on a senti qu’il avait aussi envie de mettre les pendules à l’heure !!!
On parle sans savoir. C’est ça qui me dérange un peu, mais je pense qu’il y a beaucoup de jalousie. Comme mon père le disait, c’est un vilain défaut. Ça finit toujours en méchanceté».
«Je travaille comme tous les entraîneurs le font. Je participe aux entraînements, je fais comme tous les autres… Après, c’est vrai que je délègue beaucoup, mais un entraîneur doit déléguer parce qu’il a plein de choses à faire autre part que sur un terrain. Et croyez moi, il y a beaucoup de choses à faire (…) Il faut une ouverture d’esprit et ne pas penser qu’il y a une seule bonne méthode».
«Celui-là, je l’apprécie parce qu’en début de championnat, tout le monde pensait que Paris serait champion quel que soit l’entraîneur. C’est peut-être vrai, mais je n’en suis pas convaincu. Il faut gagner des points, mettre une philosophie de jeu en place, convaincre les joueurs. L’entraîneur du PSG, ce n’est pas seulement un mec qui choisit onze noms et qui leur dit : « Vous allez gagner… »
«La saison, c’est sur 10 mois. Allez-vous retenir les quatre derniers matches ou tous les autres ? (ironique) Je connais déjà la réponse… Le problème, c’est que j’ai l’impression que vous évaluez juste la saison du PSG par rapport à la C1. Si on n’est pas en demies ou en finale, tout est à jeter aux orties… Je connais les règles, mais je trouve que c’est dommage de dévaluer le titre de champion…»
Doit-il rester l’entraineur du PSG ? Son président dit que oui pour le moment… -[poll id= »108″]
