Rolland Courbis : roi des petites phrases !

Nicolas / ATS




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Comme Africa Top Sports.com l’a rapporté dès hier, Rolland Courbis a eu des mots très durs pour parler de Sochaux, de l’équipe et de l’entaineur.

Mais comme le constate ce matin France Football sur son site, l’entraineur est quand même connu pour ses phrases assassines…

Extraits :

Coupes de France et de la Ligue
«Quand je parle de la finale de Coupe, je parle de la Coupe de France, pas de la finale en bois de la Coupe de la Ligue. Je parle de la Coupe en argent, pas du bol qui sert à tremper les biscottes dedans.  Rien que de voir sa tronche, à celle-là, j’ai compris qu’elle n’était pas importante… C’est juste la consolante du concours de boules. Moi, je parle de Mademoiselle la Coupe de France, soyons sérieux.»

La saison de Montpellier
«Passer de la 17e place à la 11e ou 12e ça mérite de figurer sur le CV. Mais sur un palmarès, ça ne figurera jamais. Alors, je peux faire un titre de journal : « Courbis : désolé je n’ai encore rien gagné »».

A propos du fair- play financier :
«Je pensais qu’on avait des problèmes quand on avait des dettes. Je me rends qu’on en a aussi quand on n’a pas de dettes.»

La différence entre sélectionneur et entraîneur
«Le sélectionneur a la possibilité de choisir qui il veut. Des joueurs complémentaires et des joueurs qui ne vont pas trop l’emmerder. Si, sur une Coupe du monde de 4 ou 5 semaines, il prend 4 ou 5 emmerdeurs, il se retrouve avec un emmerdeur par semaine. Mais quand on est dans un club, on est obligé de se farcir des erreurs de recrutement, des gars qui sont sous contrat que tu ne peux pas dégager, et ça chaque jour. Le sélectionneur voit arriver 23 joueurs. Même le 23e doit avoir un sourire qui lui déchire le visage de droite à gauche. Il est déjà content d’être, le 23e. Ça ne se passe jamais, ça dans un club. Le 23e, il tire la tronche.»


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