André Ayew avait quatre ans lors de la finale. Il se souvient à peine du match héroïque de son père :
«J’étais très jeune, j’avais quatre ans et on n’était pas allé à Munich. Plus tard, mon père, Abedi Pelé, m’a parlé de cet événement, du match, de la victoire, de la mise au vert et je sens que c’est quelque chose qui est resté gravé dans sa mémoire. J’ai vu plusieurs fois le match. C’est un moment historique pour l’OM, pour la France . J’ai vraiment apprécié ces moments quand il m’en parlait. Il m’a aussi beaucoup parlé de la finale de 1991 car c’est quelque chose qui lui est resté en travers de la gorge.
La Ligue des Champions, c’est le sommet du football. Cela montre que l’OM est un club historique et mythique. On va essayer de retrouver un niveau européen assez bon.»
