Une faute avouée est à moitié pardonnée, dit l’adage. Et une faute niée ? Après avoir défrayé la chronique en demandant des excuses publiques à sa famille et son club suite aux photos compromettantes parues dans la presse anglaise, Olivier Giroud revient à la charge et dit qu’il n’a pas commis d’adultère.
On connaissait le célèbre « sucer n’est pas tromper » du président Bill Clinton qui avait tenté de se justifier ainsi dans l’affaire Monica Lewinsky en 1998 après une petite gâterie de sa collaboratrice…
Voici donc une nouvelle formule qui va faire aussi le buzz : jouer n’est pas tromper.
C’est en gros l’aveu inattendu ce matin d’Olivier Giroud, l’attaquant français d’Arsenal surpris par la presse anglaise avec Celia Kay, une escort-girl dans une suite d’hôtel.
Cette précision intervient après ses excuses publiques dimanche sur Twitter : « je demande pardon à ma femme, mon club et mes fans »
Il est très commenté aujourd’hui comme en s’en doute…
En France, l’affaire Zahia avait ébranlé la carrière de Franck Ribéry et Karim Benzema en 2008. Mais les deux internationaux ont été relaxés le 30 janvier dernier.
On risque encore d’entendre beaucoup parler de l’affaire Olivier Giroud…