Mehdi Carcela exprime son amour pour le Standard

Journaliste à Africa Top Sports Premier portail sportif Africain https://www.africatopsports.com




Mehdi Carcela est de retour à la maison. Après des expériences au Portugal, en Espagne et en Grèce, le milieu de terrain offensif retrouve « son » Standard. L’international marocain a ete officiellement présenté à la presse ce mardi, l’occasion pour l’ailier du Standard d’aborder plusieurs sujets en lien avec le Standard.

« J’ai ce club dans le sang. Je suis né ici. J’ai commencé ici. C’est pour ça que je reviens à chaque fois », explique Mehdi Carcela dans des propos relayés par la RTBF. « Et puis il y a le public. J’ai évolué à Benfica dans un stade de 65.000 personnes mais jouer à Sclessin, c’est autre chose, cela provoque d’autres sentiments. Si je reviens en Belgique, c’est au Standard et nulle part ailleurs. »

Avec Sébastien Pocognoli et Paul-José Mpoku, le joueur de 28 ans est l’un des garants de l’identité du club. « Au Standard c’est important d’avoir des anciens qui connaissent la maison. On est là pour encadrer l’équipe et sur le terrain c’est le talent qui parle. »

Actuellement à 70%, Mehdi s’estime prêt « à aider l’équipe ». « Je vais tout faire pour donner le meilleur de moi-même, comme je l’ai toujours fait. »

Mehdi Carcela affiche ses ambitions. Entre la Coupe et le Top 6, il refuse de choisir. « On est bien parti pour nous qualifier en Coupe. On va à Bruges pour gagner. Il ne faut pas se poser de question et oublier le match aller. 4-1 ou pas 4-1, on va là-bas pour gagner. L’objectif, c’est de gagner la Coupe de Belgique et se qualifier pour les play-offs 1. Et en PO1 tout peut arriver. Avec cette équipe on peut faire de grandes choses et on n’est pas à la place qu’on mérite. »

Su un plan plus personnel, Carcela sait que s’il brille au Standard, il pourrait forcer sa place dans la sélection marocaine pour la Russie. « La Coupe du Monde est un grand objectif. Il va falloir que je fasse mes preuves ici. Au Maroc, ils savent de quoi je suis capable. A moi de le (re)montrer sur le terrain », conclut-il.


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