Rideaux dimanche sur les Jeux olympiques d’hiver, Pyeonchang 2018. L’occasion de faire le bilan de la participation africaine. Comme il y a quatre ans, pas de quoi avoir le sourire puisqu’aucun athlète du continent n’est monté sur un podium.
Ils étaient 13 athlètes de l’Afrique du Sud, l’Erythrée, le Ghana, le Kenya, le Maroc, Madagascar, le Nigéria et du Togo à se lancer sur différentes épreuves en Corée du Sud.
Pour ses premiers Jeux, Mia Clerc, la jeune (16 ans) malgache, alignée sur deux courses, a terminé 48e du Géant, jeudi 15 février, et 47e du slalom, vendredi 16 février.
Idem pour Mathilde Amivi PetitJean. La Togolaise était à ses secondes olympiades après Sotchi 2014. Une 59è place en ski de fond puis une 83è place sur le 10 m libre féminin.
Engagé en luge, le Ghanéen Akwasi Frimpong a terminé dernier (30è sur 30) après les trois séries de compétition.
Une première aux JO d’hiver pour l’Erythrée avec Shannon-Ogbani Abeda. 61è sur le slalom géant, il n’a pas terminé sa course sur le Slalom.
Ils étaient deux à représenter le Maroc. Adam Lamhamedi en ski alpin a fini 53è en slalom géant et a abandonné en slalom. De son côté, Samir Azzimani en ski de fond a terminé 11è sur le 15 km libre hommes.
Pour le Kenya, Sabrina Simander (19 ans) a fait 38è au Super G dames mais n’a pu terminer sa course dans le slalom géant.
Première apparition aux Jeux olympiques d’hiver pour le Niger avec trois athlètes en bobsleigh et luge. Ngozi Onwumere, Seun Adigun et Simidele Adeagbo n’ont rien pu faire face à la concurrence.
Pour finir, le Sud-africain Connor Wilson engagé en ski alpin n’a pu finir aucune de ses deux courses en slalom géant et slalom.
3 pays seulement seulement à Russie, ils étaient 8 à Pyeongchang. un nombre qui pourrait bien s’agrandir dans les prochaines années malgré les résultats décevants. Vivement Pekin 2022.
