Nouveau Secrétaire général de la Confédération africaine de football (CAF) après la 43e assemblée générale de l’instance tenue le 12 mars à Rabat au Maroc, Veron Mosengo-Omba est considéré par certains comme l’homme de Gianni Infantino.
Mieux, d’autres pensent qu’il a été imposé par le président de la FIFA à son homologue de la CAF, Patrice Motsepe. Mais ce dernier ne voit pas les choses ainsi.
En conférence de presse ce mardi à Johannesburg, le nouveau patron de l’instance dirigeante du football africain s’est dit « chanceux d’avoir Veron (Mosengo-Omba) à bord », tout en rappelant le parcours et l’expérience du Congolais d’origine qui a quitté ses fonctions de Directeur de la division Associations membres de la FIFA pour servir la CAF.
M. Motsepe est par ailleurs revenu sur la composition du bureau exécutif de la CAF.
« Je devais choisir les 5 vice-présidents, et pour la première fois dans l’histoire de la CAF, nous avons un président anglophone et des vice-présidents francophones. De plus, nous n’avions jamais eu de femme Vice-Présidente », a indiqué le Sud-africain qui dit avoir voulu un bureau composé de dirigeants de toutes les régions du continent, afin qu’ils se sentent concernés.
