Coupe de la CAF : La JS Kabylie ultra déterminée à soulever le trophée, devant le Raja

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La JS Kabylie affrontera le Raja Casablanca, le 10 juillet à Cotonou, à l’occasion de la finale de la Coupe de la CAF.

Les Kabyles ont accédé à la 7e finale continentale de l’histoire du club. C’est bien, 19 ans après avoir remporté en 2002 cette même épreuve. Une prouesse de haut rang  et une résurrection inespérée, qui témoigne de la sérénité gagnante retrouvée, sous la direction d’un entraineur, qui a su injecter du sang neuf dans cette nouvelle cuvée, après un début de saison difficile. Ce sera la toute 1re rencontre entre le Raja Casablanca et la JS Kabylie, en Coupe de la CAF. L’équipe algérienne ne s’est jamais imposée, en 4 confrontations face à un adversaire marocain, dans la compétition (2 nuls, 2 défaites), ne trouvant jamais le chemin des filets.

L’entraîneur de la JSK, pense que plusieurs paramètres vont entrer en jeu, dans cette finale et que l’équipe la mieux préparée sur tous les plans, l’emportera. « C’est du 50/50. On ne sait pas comment les deux équipes vont aborder le match. Est-ce qu’il y a eu une qui va avoir plus de stress que l’autre par rapport à l’évènement ? Ça se joue aussi sur le contrôle émotionnel, être capable de jouer à son meilleur niveau le jour J un match de cette importance. C’est déjà le grand paramètre d’une finale. Jusqu’à présent, on a toujours répondu présent. L’équipe du Raja ça ressemble un peu à Berkane et à Sfax et contre ces équipes, on n’a pas perdu. Au contraire, on a eu par contre de bonnes performances. Pour moi, c’est du 50/50», a souligné Denis Lavagne, dans des propos relayés par compétition.dz.

Toutefois, le technicien français, craint une seule chose, la manière avec laquelle, ses joueurs aborderont ce rendez-vous, face au Raja de Casablanca. «Nos chances sont intactes, mais après ça dépend comment on va aborder le match. Est- ce qu’on va l’aborder comme on a abordé celui contre Sfax, ou le match devant Coton Sport à Garoua ou à Yaoundé, ou est-ce qu’on sera plus craintifs ou stressés ? C’est là-dessus que ça va se jouer, s’est interrogé l’entraîneur de la JSK. Le match peut aller à 120 minute et peut-être jusqu’aux penalties. On a autant de chances que le Raja. On est là pour 90 minutes ou 120 minutes ou pour la séance des tirs au but. Il faut qu’on soit là, présent. Le Raja a plus d’expérience que nous, mais on est costauds mentalement et on l’a prouvé lors des matches précédents.»

 


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