Lille : Olivier Létang rassure Mohamed Bayo

L'équipe de la rédaction d'Africa Top Sports




Le président du LOSC, Olivier Létang, a répondu aux inquiétudes de Mohamed Bayo, qui a eu un assez faible temps de jeu avec les Dogues en première partie de saison.

Mohamed Bayo connaît une première partie de saison compliquée sur le plan individuel avec des performances sportives moindres et un manque de temps de jeu. « J’ai déjà eu une conversation avec le coach, il compte sur moi (…). Après, je suis un compétiteur. Au bout d’un moment, je ne pourrai pas attendre une saison entière sans jouer ». Dans une interview à La Voix du Nord ces derniers jours, l’international guinéen prenait la parole à propos de sa situation délicate au LOSC, où il a longtemps été rayé de l’équipe de départ en début de saison, notamment depuis l’épisode de la boîte de nuit.

Olivier Létang a clarifié la situation de l’attaquant en provenance de Clermont dans L’Equipe. Le Président du LOSC a tenu à le rassurer et rappeler les attentes envers lui : « On comprend ses doutes, mais on compte sur lui sur la deuxième partie de saison. De toute façon, on ne peut pas avoir un seul attaquant axial. Si on avait un attaquant qui ne marquait pas et que “Momo” (Mohamed Bayo) ne jouait pas, on pourrait se poser des questions. Là ce n’est pas le cas. Il doit continuer à travailler, les qualités sont là. Ce n’est pas une erreur de casting. »

Le président lillois révèle dans L’Équipe, que Mohamed Bayo a été sollicité cet hiver, mais a assuré vouloir le garder, confiant que l’ancien clermontois était encore en phase d’adaptation : « C’est un garçon pour lequel on a été extrêmement sollicités, en France et à l’étranger. Si c’était un bide, les propositions qu’on reçoit pour lui aujourd’hui, on les accepterait. Mais on veut avoir une équipe compétitive, de l’émulation, de la concurrence. “Momo” a un profil différent. Il a eu une première phase pour digérer le changement de club, de façon de travailler, de niveau d’exigence. Il l’a assimilé, il est plus fort aujourd’hui que quand il est arrivé.« 


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