Coupe du monde 2022 / Togo : Paulo Duarte regrette de n’avoir pas battu le Sénégal



Paulo Duarte n’a toujours pas oublié le match contre le Sénégal à Lomé. Le sélectionneur national du Togo a confié ce vendredi, ses regrets sur la campagne des éliminatoires de la Coupe du monde 2022. Même s’il y a une petite satisfaction, le Portugais rumine encore le but encaissé, en toute fin de partie, face aux Lions de la Teranga.

Ce vendredi 3 décembre, Paulo Duarte, était face à la presse. Sollicité par plusieurs médias, après la fin des éliminatoires de la Coupe du monde, le technicien, voulait à travers cette initiative, répondre aux préoccupations des hommes de médias, tout en se projetant sur l’avenir.

Le sélectionneur du Togo n’a toujours pas oublié les conditions dans lesquelles, les Eperviers sont passés à côté d’une victoire retentissante, contre le Sénégal. Le 11 novembre dernier, à l’occasion de la 5e journée, les Togolais menaient les Lions, avant de se faire rejoindre, dans le temps additionnel (1-1).

« Gagner le numéro 1 d’Afrique, pour la confiance, pour la maturité, pour le moral c’est important, surtout pour monter dans le Ranking (Classement FIFA, ndlr). Avec ces deux points qu’on a perdu, on a perdu clairement 15 places dans le classement africain. Si on avait gagné le Sénégal, on allait passer de 34e pour peut-être 20e d’Afrique. Mon regret c’est ça, c’est de perdre ces points et ces places au classement. Parce que quand tu es bien classé, lors du tirage au sort, c’est toujours facile », a déclaré Duarte.

Au-delà de ce regret, Duarte reste satisfait de ces premiers mois à la tête d’une sélection nationale du Togo, en pleine reconstruction. Pour la suite, il espère avoir un avenir radieux, avec beaucoup de travail.

« On a mal commencé, on a très bien terminé… Aujourd’hui notre grande force c’est le groupe. On travaille pour progresser. Rester 4 matchs sans perdre, (…) gagner deux matchs consécutifs à l’extérieur nous donne beaucoup de confiance. Ce sont ces petits titres qui  vont donner la stabilité mentale, la confiance. Même si aujourd’hui nous sommes sur la bonne route, il faut toujours travailler pour être meilleur demain », a confié le successeur de Claude Le Roy.

 

 


Articles récents