Le secrétaire général adjoint de la Fédération Malienne de football Ibrahim Bathily a écrit ce 27 Janvier à la Confédération Africaine de Football (CAF). Dans sa correspondance, il pointe de supposés manquements dans l’utilisation de la VAR lors du match de huitièmes de finale, ayant opposé les Aigles du Mali au Nzalang Nacional de Guinée Equatoriale le 26 Janvier à Limbe. Il parle d’acte « qui paraît trop suspect ».
Le Mali croit qu’il a été victime d’une injustice lors du match des huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations disputé et perdu (6-5 après tirs au but) contre la Guinée Equatoriale le 26 Janvier 2021. Dans une correspondance adressée à la Commission de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de la Confédération Africaine de Football (CAF) ce 27 Janvier, le secrétaire général adjoint de la Fédération Malienne de football Ibrahim Bathily constate que « la VAR est souvent muette sur des actions qui peuvent décider du sort final d’une rencontre ».
Le dirigeant fédéral rapporte que lors du match de mercredi soir, « la VAR a annulé un penalty accordé au Mali par l’arbitre du match sur une faute dans la surface de réparation ». Il poursuit : « par contre, la VAR est restée muette sur le cas de la main flagrante et visible du joueur équato-guinéen dans la surface de réparation. Vous trouverez ci-jointe la vidéo de ladite séquence ».
Ibrahim Bathily précise toute fois que « le Mali accepte sa défaite avec fair-play et félicite la Guinée Equatoriale pour sa qualification aux quarts de finale ». Il ajoute : « mais nous protestons officiellement contre cet acte qui paraît trop suspect ».
Tout en félicitant la CAF pour les efforts mis en place pour éviter les contestations et les protestations pendant et après les rencontres lors de l’édition de la CAN en cours, le responsable de la Fédération Malienne de Football estime que « pour la suite de la compétition et pour l’image de notre institution (CAF), il est nécessaire que les arbitres et les assistants VAR soient encore plus vigilants et regardants sur cette situation ».
De notre correspondant au Cameroun, Pierre Arnaud NTCHAPDA